Quatre ans après le début de la révolution Égyptienne du 25 Janvier 2011, La femme Egyptienne reste en premier rang et paye toujours le prix pour réclamer la liberté de tout un peuple, lors d'une manifestation pacifique a l'occasion de quatre ans de début de la révolution, le 24 Janvier 2015 La militante de gauche, Chaimaa el Sabagh, 32 ans a été tuée quand la police a utilisé la force excessive pour disperser la manifestation.
C'est la phase la plus sombre de l'histoire de la révolution, l'Egypte sous un régime militaire fasciste qui ne veut écouter qu'une seule voix, c'est sa voix, avec 40 milles, femmes et hommes, prisonniers politique selon des militants de droits humains en Egypte,
Et des centaines de mort lors des protestes, avec plus de 600 manifestants, femme et homme, tués dans une journée dans la massacre de 'Rabaa' commis par les forces de l' ordre le 14 aout 2013 et des milliers d'autre victimes de la torture dans les prisons.
On ne peut regarder la question des femmes loin de la question de la liberté du peuple Egyptien, qui reste aujourd'hui dans un grand prison avec une majorité manipuler par une guerre fantôme c'est la guerre contre le terrorisme, et qui applaudissent les tueries et la violence de l'état dans cette guerre mensongère pourtant ce terrorisme est un produit de l'absence de la justice et la guerre contre de la liberté mené par le régime militaire.
Et comme son précédeur, le régime militaire instrumentalise la question de la femme pour embellir son image avec des femmes ministres et peut être bientôt des femmes députées au parlement suite aux élections législatives prévu en Mars 2015, Pourtant les droits des femmes sont plus profond que ce décore.
le seul acquis concret depuis 2011 c'est la voix haut des Egyptiennes libres qui sont pas dans un gouvernement ni un parlement, c'est ces femmes qui ont pris la rue en 2011 pour réclamer la liberté et la dignité et la justice sociale et qui continuent une lutte quotidienne contre tout sorte d'oppression, d'autoritaire, contre l'harcèlement sexuel dans les rues, contre un port de voile ou une religion imposé, contre un mariage forcé, et contre un régime militaire, ces femmes sont de plus en plus nombreuses.